Comment s'occuper |
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Les occupations dans un pays étranger ne manquent pas, encore
plus en Turquie, où le dépaysement est garanti.
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Lors de notre croisière, on a accosté à un mini port constitué de quelques dizaines de maison, et sur place on trouvait tout pour satisfaire les touristes, pour un prix dérisoire, que ce soit la "banane" (Véronique, ma femme, est dessus !), mais aussi le ski nautique. En soirée, on a droit à un petit spectable improvisé dans le resto du coin, avec en prime l'authentique narguilé. |
Sur Bodrum, pour se déplacer, rien ne vaut le dolmuch, c'est ces petits cars, dont une grande majorité de Peugeot J9, qui vous emmènent pour un prix modeste dans un rayon d'une trentaine de kilomètre voire plus, largement de quoi découvrir la péninsule de Bodrum. |
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Le marché de Bodrum avec ses marchands d'épices, je vous raconte pas les odeurs, on trouve de tout du safran jusqu'au sex tea ! sensé être aphrodisiaque. C'est un régal pour les yeux et le nez. |
Le souk couvert de Marmaris, ce qui est bien agréable, car la
température atteignait les 40° à l'ombre dès fin
juin. La langue d'usage est soit l'allemand, soit l'anglais, le français
est relativement peu utilisé par les commerçants. Comme le
marchandage est de rigueur, et de plus au moment où je suis allé
1FF valait 65000 livres turques, j'ai pu révisé sérieusement
la manipulation des grands nombres en anglais.
Comme vous pouvez le constater, y avait pas foule, ce qui n'était pas habituel, les touristes ayant boudé la Turquie, les commerçant étaient donc aux petits oignons pour nous, on se fait offrir l'"apple tea" à chaque coin de rue, et ce n'est pas forcément pour vous inviter à acheter mais aussi pour discuter de l'image de la Turquie en France, ou essayer de comprendre le problème kurde exposé par un Turc. |
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