L'atoll de Rangiroa

Rangiroa est le plus grand atoll des Tuamotu (deuxième dans le monde après Kwajalein), son lagon intérieur pourrait contenir l'île de Tahiti. Cet atoll distant d'une heure d'avion de Tahiti est peuplé d'à peu près 2000 habitants essentiellement concentrés au nord de l'île sur deux motus. Sur l'un d'un motu est fixé le village principal d'Avatoru ainsi que l'aéroport et la plupart des structures, sur l'autre motu on trouve le village de Tiputa.

Motu devant la passe d'Avatoru

L'atoll a su exploiter ses richesses naturelles pour développer le tourisme notamment pour les plongeurs, Rangiroa est maintenant une destination reconnue mondialement pour ses sites de plongées. Rangiroa est devenu au fil du temps l'atoll le plus développé des Tuamotu. On a ainsi le charme des Tuamotu sans en avoir l'isolement et le dénuement (présence de snack, location voiture/vélo, docteurs, ...).

Un "poti marara" embarcation rapide destiné à chasser le "mahi mahi" ou daurade coryphène au harpon ! En arrière fond, le seul hotel de luxe de Rangiroa, le Kia Ora, avec les bungalows avec jacuzzi sur pilotis, le bar est un ravissement avec son plancher transparent laissant entrevoir les poissons qui se faufilent entre les piliers. L'île est aussi dotée d'une multitude de pensions de famille d'un très bon standing, moins impersonnelles, et bien plus abordables. Quelque soit l'endroit choisi, on apprécie toujours de pouvoir déguster les poissons frais ramenés par les "poti marara" de l'île.

Un poti marara qui file plein pot dans le lagon

Curiosité de Rangiroa, le lagon bleu, c'est un lagon à l'intérieur du lagon, une sorte de piscine intérieure, dans un décor digne de cartes postales.

Le lagon bleu vu du petit motu qui est caché par le nuage à gauche de la photo ci-dessus. Un havre de paix...

Toujours au même endroit.

La plage juste devant était un peu encombrée, il fallait faire attention où on mettait les pieds. Vous ne voyez pas trop de quoi il s'agit précisémment ? Voir la photo plus bas.

Bon y avait une bonne vingtaine de petits requins pointe noire complètement inoffensifs (jusqu'à preuve du contraire). Parmi eux quelques requins citrons réputés plus agressifs. L'attroupement n'avait quand même rien de naturel, ils avaient été bien appatés par les restes du pique nique pour le plus grand plaisir de tous et surtout des gamins ! Au diable le mythe du requin mangeur d'homme.

Le jeu ensuite consistait à en attaper un pour le jeter dans le bateau aux pieds des touristes ! Il fait moins le fier celui-là sorti de l'eau.
Un petit truc pour les attraper, dans quelques dizaines de centimètres d'eau, lui plaquer la tête d'une main et l'attraper juste après les nageoires. Ne surtout pas le prendre par la queue, car le gaillard va se retourner pour vous mordre ! Un autre méthode, utilisée dans plus d'eau, est d'occuper sa bouche avec un appât quelconque et de le soulever très rapidement et vigoureusement par son aileron dorsal et le lacher tout de suite à une distance raisonnable. Au bout de quelques dizaines de secondes, il se calme, et on peut alors l'attraper à deux mains derrière les ailerons latéraux.
A tester la carresse de requin, très lisse dans le sens du "poil" par contre hyper abrasive à rebrousse poil.

Coucher de soleil sur le lagon de Rangiroa.

	Un "poti marara" embarcation rapide destiné à chasser le "mahi mahi" ou daurade coryphène au harpon ! En arrière fond, le seul hotel de luxe de Rangiroa, le Kia Ora, avec les bungalows avec jacuzzi sur pilotis, le bar est un ravissement avec son plancher transparent laissant entrevoir les poissons qui se faufilent entre les piliers. L'île est aussi dotée d'une multitude de pensions de famille d'un très bon standing, moins impersonnelles, et bien plus abordables. Quelque soit l'endroit choisi, on apprécie toujours de pouvoir déguster les poissons frais ramenés par les "poti marara" de l'île.
Un poti marara qui file plein pot dans le lagon
	Curiosité de Rangiroa, le lagon bleu, c'est un lagon à l'intérieur du lagon, une sorte de piscine intérieure, dans un décor digne de cartes postales.
Le lagon bleu vu du petit motu qui est caché par le nuage à gauche de la photo ci-dessus. Un havre de paix...
	Toujours au même endroit.
La plage juste devant était un peu encombrée, il fallait faire attention où on mettait les pieds. Vous ne voyez pas trop de quoi il s'agit précisémment ? Voir la photo plus bas.
	Bon y avait une bonne vingtaine de petits requins pointe noire complètement inoffensifs (jusqu'à preuve du contraire). Parmi eux quelques requins citrons réputés plus agressifs. L'attroupement n'avait quand même rien de naturel, ils avaient été bien appatés par les restes du pique nique pour le plus grand plaisir de tous et surtout des gamins ! Au diable le mythe du requin mangeur d'homme.
Le jeu ensuite consistait à en attaper un pour le jeter dans le bateau aux pieds des touristes ! Il fait moins le fier celui-là sorti de l'eau. Un petit truc pour les attraper, dans quelques dizaines de centimètres d'eau, lui plaquer la tête d'une main et l'attraper juste après les nageoires. Ne surtout pas le prendre par la queue, car le gaillard va se retourner pour vous mordre ! Un autre méthode, utilisée dans plus d'eau, est d'occuper sa bouche avec un appât quelconque et de le soulever très rapidement et vigoureusement par son aileron dorsal et le lacher tout de suite à une distance raisonnable. Au bout de quelques dizaines de secondes, il se calme, et on peut alors l'attraper à deux mains derrière les ailerons latéraux. A tester la carresse de requin, très lisse dans le sens du "poil" par contre hyper abrasive à rebrousse poil.
	Coucher de soleil sur le lagon de Rangiroa.