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             Lors de la compétitien
              de l'homme oiseau, les concurrents s'élançaient de cet
              endroit, dévalaient la falaise, parcouraient à la nage
              les
              2km qui les séparaient des ilots (les motus), prenaient un oeuf,
              gravissaient la falaise. Le premier qui ramenait un oeuf intact
              avait
              gagné ! 
            
              Le rite commença au XVIIIème siècle pour s'achever
              seulement en 1866, époque à laquelle les missionnaires
              interdirent toutes les pratiques traditionnelles. 
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| Voilà une
            photo prise
            des motus, entre motu nui (le grand ilot) et motu iti (le petit
            ilot),
            on apprécie mieux le dénivellé de la
            falaise pour atteindre le village d'Orongo. | 
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| Vue sur les
            maisons du
            village. Elles possédaient une entrée étroite
            obligeant quelqu'un voulant y pénétrer à
            s'agenouiller et quasiment à ramper pour rentrer. Les maisons
            n'étaient dotées, à part l'entrée, d'aucune
            ouverture. | 
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          Les
            archéologistes qui
            ont procédé à la restauration du site ont
            laissé cette maison ouverte pour qu'on puisse bien voir à
            quoi pouvait ressembler son intérieur. | 
        
| Cette pierre devant les maisons servait aux accouchements, la femme se tenait accroupie. | ![]()  | 
        
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          Sur cette
            pierre
            gravée on peut voir une représentation de l'homme oiseau,
            on peut distinguer aussi le visage du dieu Make Make. | 
        

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              Détail
                sur le lac,
                avec ses fameux roseaux. Autrefois jusqu'à une époque
                récente (années 60), face à la pénurie
                d'eau
                et l'absence de forage, ce lac était une des rares sources d'eau
                douce. Les habitants d'Hanga Roa y descendaient pour aller
                s'approvisionner. Encore aujourd'hui l'eau reste une richesse,
                l'île ne pourrait pas supporter une augmentation importante de
                sa
                population. | 
            
| Une grande diversité de plantes poussent sur les flancs du cratère, notamment des arbres fruitiers (figuiers, bananiers,...). C'est encore un lieu privilégié pour aller chercher des fruits, même si ça reste sportif !! Actuellement tous les habitants seraient descendus dans le cratère au moins une fois dans leur vie, c'est du moins ce qu'ils nous disent... | ![]()  | 
            
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